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Mes femmes 2En milieu de matinée, je décide que nous allons tous faire les boutiques, mais pas n’importe lesquels. Je les veux désirables, sexys et du plus docile encore. Délivrées, douchées, habillées, c’est ma femme qui conduit, elle prend l’autoroute. Pas question que nous croisions quelqu’un que nous connaissions. On change de région, nous parcourons plus de cent kilomètres avant de nous arrêter au milieu de centres commerciaux. Là, le plan est vite fait. Béatrice et moi d’un côté, ma femme et Cindy de l’autre. Chaque groupe a sa propre liste d’achat à faire. Dans le premier des trois centres, je pousse Béatrice à me donner la main. Je l’oblige même, sans trop la forcer, à jouer les amoureuses transies. Elle le fait à merveille, n’hésitant pas à me plaquer contre un mur pour m’embrasser et caresser mes attributs masculins. Dans la première boutique, avec les mensurations de mon épouse et de Cindy, nous achetons trois tenues identiques. Désormais, elles seront toujours habillées, coiffées et chaussées à l’identique. Dans les faits, je n’ai que suggérer cette manière de vivre. Cela dit, toutes les trois se sont montrées particulièrement très enthousiastes à mon idée plus que vicieuse. Une fois ce premier achat fait, on passe à la boutique suivante. Les dessous. Je dois dire là, je prends mon temps. Ma Béatrice joue les ingénues voulant plaire à son amant et moi, le corniaud qui paie tout et ça marche du tonnerre de dieu. Devant une vendeuse, Béatrice n’hésite pas à se montrer nue avec sur son pubis, sa poitrine aussi généreuse que celle de sa mère, en dessous affriolants. Parfois, près de moi, elle vient quémander une caresse que je m’empresse de satisfaire lascivement. Nous prenons notre temps. Nous, c’est les fringue, les autres, les accessoires. Plus nous jouons au couple vicieux, plus nous nous prenons au jeu. Nous faisons le tour des boutiques de fringues avant de tomber sur cette superbe boutique pour adolescente. Là, c’est tout juste si nous ne la vidons pas entièrement. En tout, ce n’est pas moins de douze ensembles aussi sexy que provoquant que nous achetons. Au diable l’avarice, je les veux plus que désirable, mes petites salopes.Dans les WC du centre, je ne me prive plus, je la penche et la baise pour notre plus grand plaisir. Enfin, à l’heure dite, nous rejoignons l’autre partie de la famille. Nos bras sont charger et peine à tout porter. Pour preuve, il n’y a plus un millimètre de place dans le coffre et il est vaste. Une fois à la maison, j’exige un défilé de mode. Pour le coup, nous attendons le soir. Lumière tamisée, bougie, musique lascive, tout est prêt pour une nuit pleine de surprise. En haut, elles se préparent, se pomponnent. En bas, je me sers un verre, bandant déjà sur ce que j’allais découvrir. Devant mes yeux écarquillés, je découvre trois adorables petites salopes en tenue de soubrette particulièrement immorales. Rien en dessous, rien dans les mains, je crois qu’au moindre attouchement de ma bite, j’explose en mille milliards de morceaux. Heureusement, j’ai du stock en matière de musique comme de scotch. Tenue suivante, robe mi-longue, décolletée devant comme derrière et très profond à la limite de l’exhibitionnisme. Là, bas, porte-jarretelle, petite culotte fendue et soutien-gorge à balconnet. J’oublie les talons aiguilles pour le soir et les mules toujours à talon haut. C’est vite fait, j’adore, je suis comme un gosse à qui on présente ses futurs joujoux. C’est le tour de la tenue de ville. Là, y a de quoi se foutre la gueule contre un mur si on les croise ensemble. Pire, on risque la crise cardiaque. Enfin, pour la fac, mes deux me reviennent en des tenues telles qu’on en voit dans certain porno. Cependant, je mets mon véto, exclus qu’elles aillent en cours ainsi habillée. Mais pour la maison si… Non de dieu, voilà mon Élisabeth habillée à l’identique. Cette fois, c’est trop, je saute sur ma femme, la penche sur le dossier du canapé et ma queue transperce pratiquement sa frêle petite culotte. Je crois que je l’ai surprise, elle gueule que c’est bon avant même que j’ai fait le moindre mouvement en elle. Pour mes filles, c’est menottes dans le dos, ainsi que leurs chevilles et au coin, l’une en face de l’autre. Pendant que je laboure les entrailles de ma femme, mes filles font exactement ce que j’ai dit. Là, je me sens pousser des ailes. Du reste, je passe rapidement de son sexe à son cul. Et boum, elle expulse un orgasme aussi imprévisible que violent, inondant mon corps de sa mouille. J’en profite pour l’arroser de mots aussi méchants que vulgaires. Et plus je lui en dis, plus elle gémit de bonheur. Dans mon dos, nos filles ne cessent de s’embrasser. Il faudrait edirne escort bayan pouvoir filmer tout ça. La nuit s’annonce très longue. Une fois que j’ai contenté mon épouse, c’est au tour de mes deux gourgandines. Solidement menottées l’une à l’autre, je ne m’embarrasse pas de conventions, je baise, passant de l’une à l’autre. Dans mon dos, une douce voix m’encourage, elle me veut sauvage avec mes filles que, il me semble, je pilonne déjà comme une brute épaisse. Mes mots sont aussi crus que vulgaires et mes deux filles chéries ne tardent pas à prendre leur pied, chacune à leur tour. Prenant ma femme par la nuque, je le pose entre mes filles pour éjaculer tout ce que je peux sur ces trois visages, la bouche grande ouverte. Mon foutre s’éparpille sur elles et je tombe à genou, vidé par tant d’effort violent et tant de plaisir. Alors que ma femme se couche près de moi…-Désormais, tu vas être comme un coq en pâte avec nous trois. -Vous n’êtes que de très vilaines fifilles, toutes les trois. -Oui, c’est exactement comme ça qu’on veut que tu nous voies. Et il ne faut pas hésiter à sévir quand il le faut, mais s’il ne le faut pas du reste. -À c’est comme ça, alors, je vais commencer par toi, honneur à la plus ancienne de mes femmes. Couchée sur mes cuisses, devant nos filles, je fesse leur mère sans me retenir. Les claques pleuvent et le rythme est soutenu. Je fixe mes filles, je vois Cindy se lécher ses lèvres, Béatrice se les mordiller. Après une bonne vingtaine de baffe sur ce cul, c’est autour de Cindy, Béatrice suit juste après. Ces trois fessées m’ont redonné la vigueur de mes vingt ans. Aussi, dans le cul de Béatrice, lentement, avec doigté, je la sodomise alors qu’elle ne voulait pas. Une fois ma queue bien au fond, Béatrice change de registre, trouvant la sodomie super et en avant la musique tout en caressant deux superbes culs que je prépare de mes doigts. Puis, passant de l’un à l’autre, mes trois gourgandines m’encouragent à tout mettre. Mes mains claques sur ces fesses et plus j’encule, plus je fesse, plus elles jouissent. Cette fois, après avoir vidé tout ce que j’avais en magasin, je m’écroule sur Béatrice, je suis mort de fatigue. C’est à peine si je parviens à me relever du corps de ma fille. C’est avec l’aide de mes trois femmes que je gagne ma chambre. Dans le lit conjugale, elles me couchent, me bordent et Cindy se couche contre moi. -Papounet, on te remercie pour cette merveilleuse soirée. -Oh que oui et il y en aura d’autres.Je n’ai pas entendu la suite, je dors déjà. À mon réveil, je ne suis pas seul dans ce grand lit. J’ai mal partout et trois corps se pressent déjà à me remettre sur pied. On me pomponne comme un roi, petit dej au lit avec café, croissants et tout ce qui va avec. On me dit que je suis leur roi pour la suite de mes congés. Si nous le pouvions, j’arrêterai de bosser pour me faire servir par mes trois délicieuses petites salopes.Bien plus tard, dans l’après-midi, c’est près du lac que nous pataugeons quelques heures. Notre quatuor attire les regards des couples avec leurs gosses, parfois jaloux à les entendre déblatérer sur nous et nos manières lascives. Un peu en retrait, j’att**** mon épouse pour un doux et tendre moment entre nous. Je lui fais l’amour avec tout ce qui va avec, de longues préliminaires avant de la pénétrer longuement. Dans notre fourré, nous ne sommes pas seuls bien longtemps, nos filles se joignent à nous, jouant les voyeuses en se masturbant. Alors, nous leur donnons une longue, très longue leçon d’amour. Ma belle et tendre femme jouit bien trois ou quatre fois avant que je ne jouisse dans son corps toujours aussi beau et merveilleux.Le soir venu, dans le salon, Cindy, mon épouse et moi couchons Béatrice sur la table de la salle à manger. Sur son corps, nous étalons notre repas japonais. Chacune sa paire de baguette en main, nous apprenons à notre fille Cindy à manger de cette manière hautement érotique. Sur la table, allongée, Béatrice souffre le martyre, je lui ai interdit de jouir sous peine de se prendre une méchante fessée. Et nous faisons tout pour l’entendre beugler de bonheur. Nous voyons bien que l’orgasme est là, prêt à s’exprimer en force. C’est ma tendre épouse qui le provoque en pinçant très légèrement le clitoris de sa fille. Béatrice rugit comme une lionne, son corps raide, le visage déformé par son orgasme violent. Le soir, dans la maison, Je retrouve une vieille chaine qui me servait à soulever du lourd. Sortie du treuil, je cherche encore deux cadenas et leur clef. En haut, à la colonne qui délimite la cuisine du salon, j’attache une extrémité et att**** Cindy qui passe au même moment. À sa cheville, je cadenasse escort edirne l’autre extrémité. Nue, elle me fixe en massant ses merveilleux seins.-Dès la semaine prochaine, c’est toutes les trois qui serez ainsi attachées à la maison-Mon papounet, rien ne pouvait me faire plus plaisir. Tu comprends enfin ce dont nous avions envie. Me répond ma Cindy que je couche et baise. Un mois passe. Ce samedi, nous attendons des visites. Pas n’importe quelle visite, mon patron, sa femme, leur fille et leur fils. Pour l’occasion, je choisis les tenues, toutes identiques à un détail près, les couleurs différentes pour chaque ensemble. Culotte or not culotte… not culotte. Soutien à balconnet, et voilà mes trois déesses dressant la table sous mon joug. Jusqu’à la dernière minute, elles sont enchainées à la maison. Dans l’entrée, j’ai préparé trois paires de chaussures à talons aiguilles. Quand mon boss sonne au portail, mes déesses se libèrent de leur chaine et se chausse. Inspection rapide des tenues, j’appuie sur le bouton, l’auto de mon patron avance devant la maison. Mon boss, c’est un homme dur. Enfin, c’est ce qu’il montre au travail. Seulement, pour l’avoir mainte fois croisé en ville avec sa femme, ce n’est plus l’homme rude, mais le toutou à sa mémère, le caniche à bobonne. Je compte bien sur ce détail pour le rendre aussi docile qu’un agneau avec moi. Pour ses gosses, je ne les connais pas. Soumis, pas soumis, je m’en moque. Quoique, quand je vois monter la fille, l’âge de Béatrice, la soumettre me serait bien agréable. Non, je secoue la tête et ouvre la porte d’entrée. Accueil chaleureux, à la hauteur de ma maisonnée. Devant mes déesses, l’épouse me fixe d’une drôle de manière. Son sourire quelque peu pervers me fait plaisir. Très vite, entre l’épouse et moi, le courant passe plutôt bien. Pour ses gosses, son fils, tout boutonneux qu’il est, ne semble pas voir mes filles que comme des filles et c’est barre. Il doit être homo ou alors, complètement à côté de la plaque. La fille, par contre, semble attirée par Béatrice et Cindy. Pour mon patron, mes trois donzelles le font bander comme un âne. Autour de l’apéro, l’épouse ne me quitte plus d’une semelle. À son oreille, je me permets de lui dire de parler sans honte, sans faire de chichi, on est entre ami après tout. Elle me demande de l’appeler par son prénom, Christelle. Je lui demande d’en faire autant quand son époux nous rejoint sur la terrasse. Là, il se met en retrait de sa femme, parfaitement soumis. -Ainsi, ma chère Christelle, mon patron est votre soumis. -Comment l’avez-vous su ?-En vous croisant en ville et puis là, c’est flagrant. -C’est vrai que depuis notre mariage, c’est mon esclave. Du reste, Albert, montre ton cul à notre hôte. Allez, plus vite que ça. C’est bien mon petit caniche, c’est très bien. T’auras même un susucre en rentrant, me lécher mon cul. Regardez comme il frétille du cul. Mais c’est qu’il est content, le toutou. Voyez son cul, je lui administre dix coups de canne sur son cul de fils de pute. -Waow, je ne vais pas aussi loin avec mes femmes. -J’espère bien, elles me semblent si docile déjà. Ce serait dommage de les punir aussi sévèrement que moi. Mais que voulez-vous, parfois, je dois me montrer intransigeante. -Je vois ça, encore un verre ?-Bien volontiers. Oh, vu que votre invitation m’a fait un plaisir immense, mon mari fait demander de passer à son bureau lundi, disons un peu avant midi. Il doit vous demander quelque chose. Ou plutôt non, vous proposer quelque chose. -Oh, ben aucun souci. Blanc ou rouge ?-Allez, un peu de folie, du rouge, s’il vous plait. -Et vos enfants, ils sont comme lui ?-Ma fille se tâte encore. Quant à ce crétin qui nous sert de fils, le sexe n’est pas vraiment sa tasse de thé. Vous savez ce qu’il a eu le toupet de nous dire un soir ? Qu’il préférait se branler en matant un porno sur son ordi plutôt que baiser une femme. -Le con.-Je ne vous le fais pas dire. Je crois que ma fille s’intéresse beaucoup à votre grande. -Béatrice ? J’espère qu’elle ne lui cache rien de nos pratiques alors !Enfin, autour de la table, mes filles font le service. Ambroisine, fallait oser ce prénom, n’a d’yeux que pour mes trois déesses et j’aime assez ça. Le repas se déroule sans histoire. Mon patron se tait, n’osant pas l’ouvrir. Son fils n’en a rien à battre, il bouffe même comme un porc. Ambroisine, elle, ne cesse de me jeter des regards bizarres, comme si mes filles lui avaient tout avoué sur nous. Bref, au moment des cafés, Ambroisine vient se presser contre moi, sur la terrasse. -Monsieur, est-il vrai que votre épouse et vos filles sont vos soumises ?-Oui pourquoi cette question ?-Oh comme ça, par pure curiosité. edirne escort -Par curiosité…ok, mais dites-moi, jeune fille, votre père, c’est le soumis, l’esclave de votre mère, n’est-ce pas ?-Oui, j’avoue que ça m’excite quand maman punit papa. -Vous vous voyez du côté du manche ou de l’autre ?-De l’autre pour être franche. -Passez le prochain weekend chez nous, vous comprendrez mes femmes alors. -Je ne sais pas si je peux, j’ai mes études, vous savez. -Oh, on a peur, quel dommage…Ma voix se fait moqueuse, tellement moqueuse qu’Ambroisine finit par accepter timidement. Après leur départ, c’est la folie des corps qui s’empare de nous et dans le salon. Me voilà rapidement à poil et couvert d’amour par mes femmes. Le hic, c’est que Christelle est revenue sur ses pas avec le fallacieux prétexte de son sac oublié. Quand elle nous trouve en pleine petite partouze, je peux la voir sourire et filer peu après. Lundi, vers onze heures trente. Je frappe à la porte de mon patron. C’est la voix de Christelle qui me prie d’entrer, ce que je fais sans tarder. Là, dans le bureau, la porte à peine refermée, je découvre mon patron à poil, le corps zébré de partout, en train de lécher sa femme, plus précisément le cul de sa femme. Sans se soucier de son époux, le cul nu, les seins émergeant de son soutien-gorge, elle s’avance vers moi. Ses lèvres se posent sur les miennes, une main sur ma bite. Si son époux ne bronche pas, elle, elle me couche à même le sol, défait mon futal et s’embroche sur ma bite déjà tendue. -Voilà ce que je voulais depuis un bail, me faire baiser devant ma salope de mari. J’ai envie que tu me viole devant lui, tu piges ?Que répondre, je la baise et bien comme il faut, de partout, même son joli cul y a droit. Pire que tout, de baiser l’épouse de mon patron me donne des ailes, m‘oblige à fesser ce cul sans jamais forcer, juste pour le fun. La voilà qui brait comme une salope et c’est une salope. Surtout quand elle me dit sans détour que je suis autorisé à baiser sa fille le weekend prochain. Voilà qui ne tombe pas dans l’oreille d’un sourd. Quand elle jouit à nouveau, on est tout près de son vieux. À mon tour, je vais jouir, je me retire pour laisser mon foutre salir mon patron. Ce con, au moment de recevoir mon sperme, il ouvre sa bouche et me tire sa langue. Je jouis, la main de Christelle m’achève. Cette fois, avec ce que j’ai donné ce matin à mes trois perles, j’ai peur de ne plus pouvoir. C’est sans compter sur Christelle qui ordonne à mon patron de me sucer. Je vais pour foutre le camp quand je me sens pris au piège, cette bouche me pompe déjà. Christelle se colle à moi, cette fois entièrement nue. Je suis attiré par les anneaux qui garnissent ses seins que je me mets à téter comme un bébé et ça lui plait. -Seulement, je ne serai jamais ton petit chien. -Un me suffit, mon tout beau. Il est bon comme suceuse, tu ne trouves pas ?-J’ai eu peur, mais je dois dire que je me suis bien planté, c’est une pro, cette lopette.-C’est une salope et t’es le tout premier à l’apprendre. Je te laisse un moment, le temps de te faire ton nouveau contrat de travail. Dis, dresser mon fils, ça te tente ?-Pas trop, je suis plus femme, tu vois. -Mais à deux, toi et moi-Pourquoi pas. En faire une lopette comme son père ?-Justement, c’est ce que je veux en faire et bi comme lui, cette erreur de la nature. Voilà, ton nouveau contrat est prêt. -Je dois attendre de lui foutre mon jus dans sa gueule ou…-Tu te tournes, je t’achève et il te lèche ton fion pendant que tu lis et signe. Je le fais et Christelle me pompe ma bite comme une pro. Dans mon cul, un peu sale, mon patron enfonce sa langue. J’avoue ne pas détester. Je lis ce contrat qui me fait passer de chef d’équipe à chef d’usine avec tous les avantages, surtout côté salaire. Je signe juste avant de jouir dans cette bouche merveilleuse. -Je vois que tu aimes aussi donner de ta personne. Un peu soumise ?-Pas vraiment. Disons que j’aime m’abaisser parfois, tout dépend avec qui. -Penche-toi sur ton bureau que je te fesse un peu, on va bien voir. Elle le fait, allongeant ses bras loin devant elle pendant que son vieux me lèche toujours le fion. Je la fesse, doucement au début et puis, de plus en plus fort jusqu’à ce qu’elle jouisse. Après ces moments de détente, Christelle s’habille, me glissant sa petite culotte dans la poche de mon pantalon. Ensemble, nous allons voir mon futur bureau. Comme bureau, j’ai vu pire, là, c’est juste un grand et vaste bureau. Il est tout confort, même un cabinet pour me soulager. -Ici, tu pourras me baiser ou jouer avec mon esclave à ta convenance. -Et même baiser ta fille si elle ose venir me voir. -Elle osera, crois-moi !Depuis, nous vivons comme ça, moi en Maître de maison terriblement “intransigeant” et mes trois princesses sont mes humbles et dévouées servantes toujours prêtes à me subir pour prendre leur pied et le mien par la même occasion, ben tien !
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